
Dans ce pre-print, Christine Borgman (UCLA) et Paul Groth (Université d’Amsterdam) analysent les facteurs qui compliquent la réutilisation concrète des données à partir d’exemples issus de nombreuses disciplines. Ils montrent que la réutilisation est moins liée à la qualité intrinsèque d’un jeu de données qu’à la distance (technique, temporelle…) entre le créateur et l’utilisateur.